http://www.in-limine.eu/2016/03/le-vrai-combat-socialiste-un-combat-revolutionnaire-conservateur.html
Dans l'esprit d'un socialisme patriote, fédéraliste et européen, d'un socialisme puisant dans les origines, nous devons aujourd'hui nous efforcer de clairement faire le lien existant entre le progressisme et l'horreur mondialiste. La « gauche » a trahit le socialisme, le communisme l'a fourvoyé dans un messianisme coloré d'étatisme totalitaire et de technophilie, nous devons par conséquent aujourd'hui redécouvrir l'âme du combat socialiste dans la pensée de nos pères, dans leurs propres combats pour l'autonomie de la classe populaire contre la terreur oligarchique et le pouvoir destructeur de l'argent. Pour ce faire, il nous faut passer par une révision théorique du cycle présent :
C'est en abolissant l'exploitation que nous abolirons le travail, l'économisme, la technologie, l'Ordre bourgeois mondialiste, le cosmopolitisme, l'immigration massive, la démesure, la décadence, etc. et non le contraire (tout ce qui contient en lui en tant que contradiction en procès les rapports sociaux de la société du capital).
http://lesamisde.revue-krisis.com/2018/04/seule-la-tradition-est-revolutionnaire.html
"Nous sommes socialistes révolutionnaires parce que nous reconnaissons l'existence de la lutte de classe, non en tant que forme de «ressentiment», mais comme condition imposée aux travailleurs et à l'immense majorité du peuple contraints de résister aux attaques incessantes menées contre leur condition élémentaire d'existence par le capital. Parce que nous aspirons à autre chose que le seul destin de l'économie, produit des contingences du marché et des flux financiers. L'abolition des classes sociales dans le socialisme ne signifie pas le règne de l'égalitarisme et du collectivisme abrupt, mais la reconnaissance des différenciations de fonction au sein de communautés de tailles et de rangs distincts, fédérées par un projet de type impérial pour l'Europe."
-Yohann Sparfell, "Seule la tradition est révolutionnaire", revue Rébellion n°65 (juillet-aout 2014).
Dans l'esprit d'un socialisme patriote, fédéraliste et européen, d'un socialisme puisant dans les origines, nous devons aujourd'hui nous efforcer de clairement faire le lien existant entre le progressisme et l'horreur mondialiste. La « gauche » a trahit le socialisme, le communisme l'a fourvoyé dans un messianisme coloré d'étatisme totalitaire et de technophilie, nous devons par conséquent aujourd'hui redécouvrir l'âme du combat socialiste dans la pensée de nos pères, dans leurs propres combats pour l'autonomie de la classe populaire contre la terreur oligarchique et le pouvoir destructeur de l'argent. Pour ce faire, il nous faut passer par une révision théorique du cycle présent :
C'est en abolissant l'exploitation que nous abolirons le travail, l'économisme, la technologie, l'Ordre bourgeois mondialiste, le cosmopolitisme, l'immigration massive, la démesure, la décadence, etc. et non le contraire (tout ce qui contient en lui en tant que contradiction en procès les rapports sociaux de la société du capital).
http://lesamisde.revue-krisis.com/2018/04/seule-la-tradition-est-revolutionnaire.html
"Nous sommes socialistes révolutionnaires parce que nous reconnaissons l'existence de la lutte de classe, non en tant que forme de «ressentiment», mais comme condition imposée aux travailleurs et à l'immense majorité du peuple contraints de résister aux attaques incessantes menées contre leur condition élémentaire d'existence par le capital. Parce que nous aspirons à autre chose que le seul destin de l'économie, produit des contingences du marché et des flux financiers. L'abolition des classes sociales dans le socialisme ne signifie pas le règne de l'égalitarisme et du collectivisme abrupt, mais la reconnaissance des différenciations de fonction au sein de communautés de tailles et de rangs distincts, fédérées par un projet de type impérial pour l'Europe."
-Yohann Sparfell, "Seule la tradition est révolutionnaire", revue Rébellion n°65 (juillet-aout 2014).