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    Arthur Moeller van Den Bruck, Germany's Third Empire

    Johnathan R. Razorback
    Johnathan R. Razorback
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    Arthur Moeller van Den Bruck, Germany's Third Empire  Empty Arthur Moeller van Den Bruck, Germany's Third Empire

    Message par Johnathan R. Razorback Ven 6 Fév - 15:57

    https://ia601403.us.archive.org/30/items/GermansThirdEmpire/Ge3rd.pdf

    "La plus mauvaise des paix n'est jamais définitive (The worst peace is never final)" (p.9)

    "Nous les Allemands n'avons jamais eu encore de révolution politique de notre histoire. Cela peut être considéré comme une indication que nous sommes parvenus au milieu de notre histoire. Les Anglais ont derrière eux leur révolution religieuse et leur glorieuse révolution politique. Les Français ont fait leur Révolution. Ces deux nations sont plus vieilles que nous." (p.9)

    "Une révolution est une opportunité qui ne se représente jamais dans la vie historique d'un peuple. Notre Révolution est une opportunité de ce genre. La saisirons-nous ?" (p.10)

    "Toutes les grandes idées sont simples, quoique leur réalisation puisse être difficile."

    "Notre déclin trouve son origine dans un épuisement spirituel." (p.20)

    "Nous avons maintenant affaire avec une République, dont la base n'est pas la Constitution de Weimar mais le Traité de Versailles. On a fait de nous des esclaves. Nous avons mêmes adoptés une mentalité servile: il y a parmi nous des francophiles amoureux de nos ennemis et de leurs modes de pensée". (p.26)

    "Les gens ne voulaient pas la Révolution. Mais ils l'ont faite". (p.27)

    "Rien ne peut défaire la Révolution, rien ne peut rendre les choses dans l'état où elles auraient été si la Révolution n'avait jamais eu lieu." (p.31)

    "Il n'y a rien à faire pour nous sinon arracher la Révolution des mains des révolutionnaires". (p.33)

    "Combinons donc les idées révolutionnaires et conservatrices". (p.38)

    "Chaque peuple a son propre socialisme". (p.39)

    "L'essence de l'Utopie est qu'elle n'est jamais réalisée." (p.39)

    "Marx était un matérialiste pénétrant. Mais il ne s'est pas élevé au-dessus du matérialisme." (p.39)

    "La relation entre logique rationnelle et vérité est la même qu'entre les statistiques et la réalité. Elle embrase tout hormis ce qui est vital. [...] Le rôle que joue le calcul dans l'histoire est en fait extrêmement faible. Nous sommes liés de tous côtés à ce qui est incalculable." (p.41)

    "La vertu de Platon s'est révélée aussi impotente que la foi chrétienne". (p.42)

    "L'Homme pense toujours d'abord à son "Je"." (p.42)

    "Marx a basé ses calculs sur la nature commune des hommes et leur avidité par trop humaine." (p.42)

    "Juif comme il l'était, le sentiment national était incompréhensible pour [Marx]" (p.42)

    "C'est l'homme qui fait l'Histoire, pas l'histoire qui fait l'homme." (p.50)

    "Les premières lois de l'histoire sont politiques ; les lois économiques sont secondaires. [...] Marx croyait sérieusement que l'État était condamné, que l'histoire allait se dissoudre dans l'économie." (p.50)

    "Un peuple ne peut même pas être nourri sans un gouvernement. Comment les impulsions, les passions, la volonté, l'ambition, le talent, l'entreprise des nations pourrait-il être régulé et dirigé excepté par l'État ?" (p.51)

    "Le socialisme ne peut aider que s'il se purge lui-même de son matérialisme, de son rationalisme et -de ce qui a été la plus fatale des choses -de son libéralisme.[/i]" (p.57)

    "[i]Le socialiste n'était pas capable d'apporter une réponse aux problèmes du prolétariat.
    " (p.58)

    "Le socialiste omit de prêter attention au plus sérieux de tous les problèmes auxquels sont confrontés les États civilisés: le problème de la surpopulation. [...] Il y a des nations qui possèdent de la terre et de l'espace et des excédents agricoles et des matières premières et la liberté de se déplacer et de s'étendre: et il y a des nations qui ne l'ont pas." (p.61)

    "Ce n'est pas l'industrie qui a causé la surpopulation, mais la surpopulation qui a rendu l'industrie possible." (p.62)

    "La nature représente une lutte pour l'existence dans laquelle le vainqueur est le survivant." (p.63)

    "Le social-démocrate allemand ne saurait voir que la solution du problème de la surpopulation est le socialisme. Il ne saurait demander si le véritable système pour réguler la production et la consommation d'un excès de population ne pourrait être trouvée dans l'impérialisme." (p.63)

    "Les masses quant à elles deviennent politiquement conscientes." (p.70)

    "Quand nous parlons désormais d'un socialisme allemand, nous ne voulons bien sûr pas dire le socialisme du social-démocrate dans lequel le parti a trouvé refuge après notre ruine ; pas davantage ne parlons nous du socialisme marxiste logique qui refuse d'abandonner la lutte de classe de l'International. Nous voulons plutôt parler d'une conception corporative de l'État et de l'économie, qui doit peut-être avoir une fondation révolutionnaire, mais cherchera aussi la stabilité conservatrice." (p.74)

    "Le Socialisme commence là où le Marxisme prend fin. Le Socialisme allemand est appelé a jouer un rôle dans l'histoire spirituelle et intellectuelle de l'humanité en se purgeant lui-même de toutes traces de libéralisme. [...] Faire venir au monde le Socialisme allemand n'est pas la tâche du Troisième Empire Allemand. Le Nouveau Socialisme doit être la fondation du Troisième Empire Allemand." (p.76)

    "Le libéralisme est la Mort des Nations". (p.77)

    "Il existe un petit groupe de leader secret -un groupe qui inclut les francs-maçons et les Jésuites et probablement les Bolchéviques -qui fait l'histoire". (p.88)

    "Les libéraux s'envisagent eux-mêmes comme des individus isolés, responsables de personne. Ils ne partagent pas les traditions de la Nation, sont indifférents à son passé et n'ont pas d'ambition pour son futur. Ils ne font que chercher leur avantage personnel dans le présent. Leur rêve est la grande Internationale, dans laquelle les différences de peuples et de langages, de races et de cultures seront oblitérées. Pour promouvoir ceci ils ont la volonté d'user, un moment du nationalisme, un moment du pacifisme, un moment du militarisme, selon le besoin des circonstances." (p.90)

    "Les Nations qui ont cessé de se sentir elles-mêmes comme un peuple, qui ont perdu leur instinct étatique, donnent au libéralisme une opportunité." (p.91)

    "La démocratie formelle qui se fait passer pour notre État est maintenant si discréditée que plus rien ne peut la sauver." (p.111)

    "Toutes les forces antilibérales se combinent contre tous ce qui est libéral. [...] C'est une révolte contre l'âge de la Raison." (p.112)

    "La Raison fait de l'homme qui pense un homme qui calcule. Elle corrompt l'Europe." (p.113)

    "Si à un moment donné le peuple sent qu'il a trouvé un véritable leader dans le pays, les gens accepteront joyeusement son leadership et enverront au diable les chefs des partis démocratiques et socialistes." (p.117)

    "A la place d'un État basé sur des états, nous basons notre État sur un parlement, ce qui est une conception importé de l'Occident." (p.125)

    "La Droite commence à reconnaître la pression et le poids des masses." (p.138)

    "Nietzsche savait que la démocratie n'est que le phénomène superficiel d'une société mourante." (p.152)

    "[Les membres de la Race Juive] sont désormais prompt au succès en tant qu'exploiteurs de leurs hôtes dans n'importe quel pays". (p.155)

    "Le conservateur est un homme préparé à toutes les éventualités. Ce n'est pas son rôle de désespérer lorsque les autres désespèrent ; Il est là pour relever le défi quand les autres échouent." (p.165)

    "Des points de contact entre le nationalisme et le communisme existent depuis longtemps." (p.170)

    "La lecture de l'histoire du réactionnaire est aussi superficiel que celle du conservateur est profonde. Le réactionnaire voie le monde tel qu'il l'a connu ; le conservateur le voie tel qu'il a été et sera toujours. Il distingue le transitoire de l'éternel. Ce qui a été ne peut jamais être exactement de nouveau." (p.181)

    "Les objectifs du conservatisme peuvent être atteints même sur la base de postulats révolutionnaires et par des moyens révolutionnaires." (p.193)

    "Le monde est en perpétuel mouvement. Conservatisme et mouvement ne sont pas mutuellement exclusifs". (p.195)

    "Le réactionnaire se tient entre la nation et le prolétariat ; il a été le plus grand obstacle à la coopération entre l'extrême-droite et l'extrême-gauche." (p.199)

    "Nous vivons dans le but de transmettre." (p.201)

    "L'ennemi du conservateur est le libéral". (p.203)

    "Le conservatisme allemand a oublier qu'il doit d'abord conquérir ce qu'il doit conserver ; qu'un chose ne peut être conservée qu'en étant incessamment reconquise." (p.215)

    "Le conservatisme peut se combiner avec n'importe quelle forme de gouvernement." (p.224)

    "Le révolutionnaire conçoit l'histoire comme commençant avec lui." (p.233)

    "La grandeur d'un homme: être quelque chose de plus que son propre ego." (p.257)

    "L'ombre de l'Afrique tombe sur l'Europe." (p.264)

      La date/heure actuelle est Jeu 28 Mar - 12:57